Principaux thèmes

Le socle de la région

La vie au camp de concentration de Natzwiller-Struthof

Sédimentation en relation avec l'ouverture du fossé rhénan

Phénomènes tectoniques et ouverture du rift rhénan

 Volcanisme du Kaiserstuhl et ouverture du rift rhénan

Hydrothermalisme lié au rift et ses conséquences économiques dans le passé de la région

 Paysages et activités en Alsace

Les mathématiques et la géologie

Conclusion

 

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Les conditions de vie des prisonniers

8 lits dans un petit espace

Les détenus étaient enfermés dans des cellules exiguës.

Certains détenus étaient même utilisés comme cobayes pour des expériences médicales et mourraient dans des conditions atroces.  

La table d'opérations

Elsa P, Hélène M, Chloé, Mathilde

 

 

Les vêtements des prisonniers

Hélène M, Chloé, Mathilde et Elsa

Plusieurs fois par jour, les détenus étaient convoqués sur les places d'appel aux différents étages du camp. L'hiver, ils pouvaient attendre des heures dans le froid, avec pour seuls habits leur chemise et leur pantalon de toile.  Les SS (Schütz Staffeln) les regardaient, dans leurs manteaux chauds, les insultaient et se moquaient d'eux. Les détenus se faisaient humilier, battre, et tuer sans aucune justification, par plaisir, par pure sadisme.

Julie, Alexis, Joffrey et Nicolas L.

   Les prisonniers, surnommés « les stück » (« les morceaux », désignant leur état de santé) étaient considérés non pas comme des humains mais plutôt comme des détritus. Même les chiens allemands, autres tortionnaires cruels, étaient mieux traités. Parfois, pour leur donner un peu d'eau à boire, on leur lançait une bassine d'eau croupie et eux, mourrant de soif, se jetaient à terre pour essayer d'en avaler quelques gouttes avant de repartir à leurs devoirs. Leur surnom n’était pas si imagé : à bout de force, usés et sans nourriture, ils devaient soulever leurs propres jambes afin de gravir des marches.

Les travaux qu'on leur faisait faire étaient, pour la majorité, inutiles et dégradants. Par exemple, les nazis leur faisaient monter une côte très pentue, au pas de course, un énorme bloc de granite dans les bras provenant de la carrière à proximité, juste pour les voir souffrir. Les blocs de pierre étaient ainsi descendus de la même manière par un autre détenu. Cela constituait une véritable torture physique, mais aussi mentale.

Nicolas L., Julie, Alexis et Joffrey

 

Le camp                                        Lieux symboliques